T’es Nul, Tu n’es pas FORT, Tu comprends RIEN, t’es BÊTE, tu ,n’y arriveras JAMAIS…

Vous avez sûrement entendu ces phrases ?

Alors je t’invite à t’assoir et à prendre la position la plus confortable pour lire cet article. Vous avez tous (ou pas) déjà entendu parler des « croyances limitantes » Mais d’où viennent-elles ? A quoi servent-elle ?

Viens découvrir dans cet article, des outils puissants sur les « croyances limitantes ».

La croyance, un outil tout puissant

« Une étude publiée en 2013 du Journal de thérapie comportementale et cognitive montre que des patients douloureux chroniques développent un système de croyances autour de leur douleur. »

Les croyances sont les filtres organisés, préétablis, de notre perception du monde. Quand nous croyons fermement que quelque chose est vrai, c’est comme si nous donnions à notre cerveau un ordre sur la façon de nous représenter les événements. Elles donnent des ordres à notre système nerveux.

La croyance peut donc devenir un outil des plus puissants pour réaliser vos désirs.

Au contraire, une croyance qui entrave votre action peut provoquer des résultats catastrophiques.

Celui qui n’a pas de croyances, ou qui ne réussit pas à y puiser d’énergie, est totalement désemparé.

Seules les croyances donnent le pouvoir d’agir et de créer le monde dans lequel on veut vivre. Car elles nous donnent l’énergie dont nous avons besoin pour l’obtenir.

Imiter l’excellence

L’histoire de l’humanité est l’histoire de la croyance humaine.

Les individus qui ont changé le cours de notre histoire : Mohamet, Jésus, Einstein, Luther King ou Edison – sont des gens qui ont modifié nos croyances.

Si nous voulons imiter l’excellence, nous devons apprendre à modeler nos croyances sur celles des individus qui sont parvenus à l’excellence.

La plupart d’entre nous connaissent l’effet placebo, un médicament dénué de toute propriété curative agit sur le malade qui est persuadé qu’on lui donne un traitement efficace.

 « Les médicaments ne sont pas toujours nécessaires. La croyance en la guérison l’est toujours. »

Représentation interne

Dans une étude publiée en 2008 par Fabien Bacro et Agnès Florin sur les représentations d’attachement au père et à la mère chez des enfants de 3 à 5 ans.

« Les modèles sont des représentations des relations d’attachement passées et présentes, elles constituent une « base de données » qui peut être consultée quand de nouvelles relations se construisent »

La croyance n’est rien d’autre qu’un état, une représentation interne qui gouverne le comportement.

Il peut s’agir d’une croyance dynamisante ou, au contraire, d’une croyance destructrice.

Si on croit à la réussite, on trouvera en soi le pouvoir de l’atteindre. Si on croit à l’échec, on aura tendance à y aboutir.

Imaginez la situation suivante : Quelqu’un vous dit : « Va chercher le poivre, s’il te plait » ; et en passant dans la pièce vous vous dites : « Mais je ne sais pas où il est. » après avoir cherché un petit moment, vous vous écriez : « Je ne le trouve pas ! » La personne qui vous l’a demandé entre alors, prend le poivre qui se trouve sur l’étagère, sous vos yeux, et dit : « Regarde, il est devant ton nez. Tu ne trouverais pas de l’eau dans la Mer ! » On peut donc affirmer que quand vous vous êtes dit : « Je ne sais pas où il est », vous avez donné à votre cerveau l’ordre de ne pas voir le poivre.

Résumé des croyances vers l’excellence:

Tout événement se produit pour une raison précise et doit nous servir, alors l’échec n’existe pas.

Le travail est un jeu et il n’y a pas de réussite durable sans engagement, seuls existent les résultats et quoi qu’il arrive assumez-en la responsabilité !

Il n’est pas nécessaire de tout comprendre pour tout utiliser, les êtres humains sont votre plus grande ressource.

Rappelez-vous donc ceci : Quand vous vous dites que vous êtes capable d’accomplir telle action et quand vous vous dites que vous en êtes incapable, dans les deux cas vous avez raison.